667 interpellations à travers l’Hexagone, des unités d’intervention d’élite comme le Raid, le GIGN et la BRI déployées dans plusieurs villes du territoire, de nombreuses échauffourées et des scènes de pillages de magasins… Pour la troisième nuit consécutive après la mort de Nahel, mardi à Nanterre, de nouvelles violences urbaines ont “secoué” le pays jeudi 29 juin, rapporte le Daily Mail. Ni la mise en examen et le placement en détention provisoire du policier mis en cause ni la mobilisation de quelque 40 000 membres des forces de l’ordre n’ont suffi à calmer les émeutiers.
À Nanterre, devenue l’épicentre des violences, des fusées d’artifices et des grenades ont éclaté dans le quartier populaire de Pablo Picasso, où vivait l’adolescent tué. Dans le centre-ville de Marseille, c’est la devanture de la bibliothèque municipale L’Alcazar qui a été endommagée, selon la mairie. À Paris, plusieurs boutiques ont été vandalisées et pillées. En Seine-Saint-Denis, “qu
- Accédez à tous les contenus abonnés
- Soutenez une rédaction indépendante
- Recevez le Réveil Courrier chaque matin
Vu de Suisse. Macron : le verrou parisien et le poumon marseillais
Vu d’Allemagne. Mort de Nahel : quand la police française va-t-elle enfin changer ?
Vu de l’étranger. La mort de Nahel a “rouvert la polémique sur les violences policières”
Vu du Royaume-Uni. En France, pays de la bagarre organisée, la violence échappe à tout contrôle